I. Avons-nous en notre possession des preuves tangibles pour convaincre le monde de sa surdité & de son aveuglement ? Et si Dieu nous montrait son décor, serions-nous capables de l’apprécier à sa justesse ?! Chers lecteurs, il est important pour chacun de nous d’aiguiser notre capacité d’écoute ! Car c’est une bonne disposition, être à l’écoute. Certaines thèses érudites de notre génération, ou celle d’avant, l’attestent comme un témoignage,
elles content qu’il serait plus simple de discourir même pour ne rien dire au final, que de se taire & d'écouter ! Je partage bien leur avis ; Pas vous ?
II. Je partage avec vous cette thèse constituée comme un frais de ma part, que je transfère en grand renfort comme un fort soutien à certaines méthodes oubliées ou juste ignorées en masse. Aujourd’hui, c’est une crise de foi, l’apostasie ! Quitte à savoir pourquoi ?
"Cf/.Romains 10 v. 16-18"
-L’apprentissage est dévoré non pas par un monstre tel que nous l’imaginons avec une grande dentition effrayante & vilaine, non, non!!! Mais juste par le simple fait de l’abandon de la recherche de son créateur. L’ignorance lie totalement les générations dans l’absence de l’apprentissage de l’écoute.
(Cf/. Osée 4 v.6) Oui c’est bien d’être à l’écoute, c’est une bonne attitude d’apprentissage, une excellente aptitude même, l’écoute ! Et c’est exactement ce que j’essaie de vous dire ; "Écoutez!"
III. Au risque de n’être guère compris, il n’est pas simplement question de l’apprentissage, il est aussi question de bien des choses avantageuses que...
l’écoute nous apporte en renfort dans notre scientificité, mais je ne les énumère pas spécifiquement toutes dans cette courte entremise.
IV. Je disais chers lecteurs… Si votre refus de croire en Dieu est dû à l’absence de preuves visibles ; vous pouvez justement "Écouter". Il y a une histoire que j’aimerais bien que nous lisions ; c’est le Christ qui la conte dans le récit biblique, lisons donc, et n’oubliez pas, je souligne bien « L’ÉCOUTE! ». Cf/.Luc 16 v. 31
V. Mais il est important que je vous le précise aussi:
« Ce n’est pas parce que vous avez vu, que vous avez su », « IDEM » pour l’écoute ce qui est tout de même paradoxal non ! Vu toutes mes éloges au sujet de cette dernière ? Mais si le véritable savoir, mes chers lecteurs, résidait entièrement dans votre connaissance approfondie de l’écoute de ce que vous refusez peut-être de voir sur vous-mêmes, interrogeriez-vous toujours le croyant sur « l’absence de preuves visibles » ?!
Luc 16 v.19-31 “Et Abraham lui dit: S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts ressusciterait.”
VI. Chers lecteurs, c’est une disposition de l’âme, corps et esprit, une grande espérance qui s'attache à son appel pour accéder à son royaume.
(Cf./ Éphésiens 1 v.18) Toutes les richesses de la foi, de votre foi, proviennent de ce que vous écoutez dans le son de sa parole pendant votre exil.
Avant, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, Dieu lui-même, nous eut parlé par les pères, par les prophètes ; et aujourd’hui c’est par le fils qu’il nous parle, car les sourds doivent entendre de sa bouche, pour écouter le son harmonieux de son appel qui nous change.
(cf./ Hébreux 1 v.1-2)
VII. Si les sourds entendent c’est parce qu’au départ, il est donné naturellement à chaque Homme, cette capacité d’écouter son appel pour y répondre ; riche, pauvre, beau, belle, instruit, pas instruit, etc.
Il n’y a pas de persuasion flatteuse pour vous pousser au bon sens. Bien au contraire vous devez être en mesure de l’écouter avec raison, écouter ce qu’il vous apprend. Vous devez écouter le son qu’il produit et la prose qu’il impose, et même s’il impose, vous n’y êtes néanmoins point obligés. (Cf./ Apocalypse 3 v.20)
VIII. Pour ainsi dire, vous devriez répondre, répondre au devoir favorable de votre appel avec détermination & empressement, pour accéder à ses merveilles. Si vous entendiez l’appel, comme il est écrit: je le redis aujourd'hui, si vous entendez sa voix, N'endurcissez pas
vos coeurs, (cf./ Hébreux 3 v. 15) alors vous sauriez une chose incroyable, vous écouteriez la phrase qui vous instruira vers la responsabilité à ne plus être vous-même, car tout ce qui est ancien est maintenant très loin derrière vous, (Cf./ 2 Corinthiens 5 v.17) car votre nom est inscrit dans le livre de ceux qui doivent vivre nouveau. Toutes les richesses de la foi, de votre foi, proviennent de ce que vous écoutez dans le son de sa parole pendant votre exil.
“Un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d’ulcères.” Cf. Luc 16 v.19 à 31
IX. Quand nous commencerons à écouter, nous commencerons à changer. Voilà pourquoi, c’est un devoir des plus sacrés, et nous ne pouvons contester sa haute valeur et Dieu lui-même y a veillé aussi.
Mes chers lecteurs, il a doté naturellement chaque Homme de cette capacité d’écouter son prochain pour
changer ; pour être à nouveau, nouveau. Le changement est le grand appel. Cela, que nous soyons
: « riches », ou
« pauvres ». Dieu nous appelle tous au changement. (Cf./ 1 Jean 3 v. 17) Dieu nous appelle à son grand changement, Dieu nous appelle à l'aube du brut du premier éveil à être témoins de l’éclosion pour témoigner du changement.
Je disais qu’il n’y a pas de persuasion flatteuse pour nous pousser au bon sens, si nous sommes vivants, nous devons échanger des mots, nous devons nous écouter, si nous sommes vivants, avec un corps, enveloppé de la chair, nous devons savoir qu’on peut changer. Tout le monde peut changer, seulement pour certains, cela peut prendre plus de temps. Nous changeons indéniablement grâce à chaque information que nous écoutons, nous pouvons changer en personnes « malfaisantes » ou en personnes « bienfaisantes », si je peux le résumer, mais les possibilités sont tellement infinies. (Cf./ Jean 15 v. 13) Nous pouvons tous changer notre humanité immature, nous pouvons si nous le voulons et comprenons que grâce à notre capacité inée...
[...]et volonté forte, nous pouvons le faire en nous écoutant les uns les autres, en dialoguant avant qu’il en soit trop tard.
X. Pour nos consciences avancées, modernes et moralistes, en même temps inquiètes et troublées, comprenons que la capacité d’écoute est aussi un moyen d’acquérir de bonnes aptitudes, et la sensibilité en rapport avec ceux qui nous entourent. Car nos dispositions acquises pour faire des choses, content au monde une histoire sur nous-mêmes, sur vous, sur lui, sur toi, elles content une histoire sur notre véritable appel en ce bas monde.
Elles ont conté cependant l’histoire de Moïse (la loi), elles ont conté l’histoire d’Elie (les prophètes), l’histoire d’Adam (les Hommes). Elles content également les méfaits vains des Hommes qui nous laissent trébucher sur des discours infondés de leur refus de croire, faute de preuves matérielles. Mais c’est bien plus que vrai, car je pourrais pointer du doigt longtemps et mettre un grand rafraîchissement de mots bien sucrés à mon discours sur Dieu, les anges, le paradis, mais mon écoute de l’autre, de sa « souffrance », de sa « paix », sa « tristesse »,...
[...]sa « joie », en dira toujours bien long sur ma discipline à l’acquisition du savoir sur la charité, la compassion et l’empathie qu’elle engendre. (Cf./ 1 Jean 4 v. 11)
XI. Il y a de la passion et de la profondeur, il y a aussi de la finesse quand nous analysons ce que nous apprenons en écoutant attentivement. Si vous me le permettez chers lecteurs, je refuse justement de trop discourir au risque d’être incompris, mais j’apprends aussi de l’écoute, je suis à l’écoute de mon prochain, je suis à votre écoute.
Nous croyons car c’est l’espérance qui nous a été donnée selon ce que nous avons écouté par les discours de nos « aïeux » qui nous ont précédés...
[...](les apôtres), ils nous ont souligné fermement sur ce sujet de la charité qui vint avant tout, mais au préalable nous avons nous aussi écouté cet appel de responsabilité qui nous pousse à être des personnes charitables. (Cf./ Jacques 1 v. 27) Oui, bien-sûr !!! Nous écouter les uns les autres, est bel et bien une responsabilité collective. (Cf./ Amos 3 v. 3) Ce n’est pas en vain que le créateur nous rend témoin de l’apparition, de la manifestation et de la naissance,
[...]pendant un temps défini comme étant ; « observation et à l’écoute de toutes choses, vers la croissance et la maturité », ainsi est caractérisée la belle oeuvre du parcours disciplinaire d’un nouveau-né.
XII. Le Seigneur nous demande-t-il d'écouter sa parole ? Drôle de question n’est-ce pas ? Nous demande-t-il de croire en sa parole ? (Cf./ Jean 5 v. 24) Nous devons croire au Seigneur parce qu’il l’a dit ? Nous devons, c’est bien tout ?! Quelle est la thèse de la responsabilité de notre véritable approche en tant que croyant ? Venir, et revenir, écouter et croire qu’il vient bientôt ?! (Cf. /1 Pierre 2 v. 4) Et même si je dis que nous devons croire, nous ne sommes pas néanmoins obligés d’y croire. D’ailleurs ceux qui ont poursuivi le chemin de la croix, de la foi, nous donnent-ils des raisons d’y croire ? Drôle de question pas vrai ? Mais si nous avons ne fut-ce que pris cette patience sereine suffisante pour les écouter, dirions-nous à voix haute, les avoir écouté nous supplier de ne surtout pas y croire ? (Cf./ Jacques 1 v. 6-7) Vous comprenez où je veux en venir…?
“Dans le séjour des morts, il leva les yeux; et, tandis qu'il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein.” Luc 16 v. 23
XIII. J’aurais tellement voulu que nous puissions examiner ce passage, aussi ancien qu’il est, nous attarder un peu, examiner sa mesure,
la responsabilité dont il nous charge, car voyez-vous chers lecteurs, en regardant attentivement, ce passage nous interpelle sur les conséquences immortelles et éternelles de notre refus d’écouter et de croire. Hélas !!! Je ne peux guère tout publier sur le site web. Mais en attendant l’ouvrage final nous allons rester
brefs !
Mes chers lecteurs, bienheureuse pensée; « C’est au plus profond de moi-même, que j’ai cherché, et j’ai su écouter, croire et trouver ». Hé bien, l’ensemble des choses que nous croyons, traduisent aussi l'univers qui réside en chacun d'entre nous, lorsque nous agissons, notre monde intérieur déploie ses profondeurs "bienfaisantes" ou "malfaisantes", évidemment il en dit bien long sur le système d'enseignement religieux qui nous traduit. Et même si nous allions chercher dans notre plus intime divination, pour faire avec délicatesse, et déclarer nos hautes aspirations, comme si nous étions le seul hôte de notre propre enveloppe corporelle, hé bien, que l’on soit ou non d’accord, cela ne serait que pur dramaturge, si nous arrêtons d’écouter.
XIV. Vous ne pouvez pas arrêter d’écouter, "d’éprouver", de "sentir", de "ressentir", de "pressentir", de "consentir", ne laissez pas le mal du monde...
[...]vous éteindre dans l’immortel péché, dans l’éternelle iniquité.
Le monde nous a déjà changés d’une manière ou d’une autre, dans le plus grand des silences tactiques, il nous a souffletés d’une manière polie, et nous marchons à présent en titubant, oblitérés, attristés au tréfonds de nous-mêmes, quoique nous nous persuadions bienheureux de ces jours fastes, nos oreilles sifflent du bruit sinistre produit par la claque subtile. Nous savons tous que le bruit du mal qui court les rues, de nos jours ne cesse de se pontifier, et plutôt très crédible, il est sonore, et tous l’honorent. Ce qui nous ronge de l’intérieur c’est aussi ce son vibrant qui nous rend insensibles et plaignants de tout, et nous assourdit.
A vrai dire, ce n’est pas une juste rétribution que nous vivons là ! Et je sais que nous le savons tous, même si nos "aïeux" ont mangé ces friandises agaçantes, nous ne sommes pas obligés de marcher dans la confusion tous hébétés en mâchant (mâchouillant) l’esprit confus et frustré, en subissant le gout amère que nous n’avons de notre gré mis sous la langue. Pourquoi m’assourdirais-je et m’enivrais-je du vin d’égoïsme dans la seule intention de ne rien sentir ?! Pour ne point ressentir?! Ne plus...
[...]pressentir?! A jamais consentir ?! Ne laissez guère le mal du monde immonde vous éteindre dans l’éternel cycle d’iniquité.
XV. L’Éternel notre Dieu créateur de tout, infini, nous a aussi doté d'une infinie capacité d’écoute des autres ! Notre capacité d'écoute est bien plus profonde, plus secrète, plus sagace, plus plongeante, que l’idée que nous nous faisons d’elle ! C’est un bel art qui exclut l’offense polie, on ne peut pas écouter de belles paroles douces de (sa)son bien-aimé(e) qui s’écroulent telle une commette de la brume raffraîchissante et être amants de la commère bavarde qui court les rues et qui offense l’altruisme !
La capacité d’écoute, elle ne se limite pas à l’ouïe ou à notre besoin profond de chercher à mettre un visage sur la voix, pour croire enfin ou pour au final s’attarder sur des traits de visage et mimiques pour trouver toutes les raisons pour ne pas y croire.
-Dans le séjour des morts, il leva les yeux; (Cf. / Luc 16 v. 23) Sachez-le, votre sensibilité à la douleur des autres est vitale. Le poison infectieux qui nous ronge tous est peut-être notre envie pressante, brutale, écrasante, de vouloir à tout prix atteindre nos objectifs plus que tout au monde dans l’immortel...
cycle du péché, dans l’éternelle iniquité. « Chaque jour menait joyeuse et brillante vie. » (Cf. / Luc 16 v. 19) Arrêtez svp de courir, arrêtez-vous un instant, pour lui, pour moi, pour toi ! Arrêtez-vous s'il vous plaît et écoutez !
— Adiy'el
Merci d’avoir pris ces quelques instants précieux pour découvrir & lire.
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